
Raivavae possède de nombreux sites archéologiques, mais je n’ai pu voir que le marae Pua Pua Tiare, facilement accessible.
Comme à Tubuai, ces sites sont situés sur des terrains privés, souvent laissés à l’abandon. En outre, les propriétaires n’invitent pas nécessairement des inconnus à fouiller une hypothétique parcelle de jungle, surtout lors d’un court séjour durant lequel il est difficile de repérer les « bons » endroits et les « bons » interlocuteurs.

© The British Museum Oc,G.T.1671
En effet, sur Raivavae, malgré le travail effectué par le Bernice P. Bishop Museum en 1921, celui des époux Routledge dont on peut voir quelques photographies disponibles sur le site du British Museum, les résultats confidentiels de l’expédition archéologique norvégienne à l’île de Pâques et dans le Pacifique oriental en 1966, il aura fallu attendre les années 80-90 pour qu’Edmundo Edwards réalise une étude archéologique approfondie de l’île dont les résultats n’ont été publiés en 2003.
Voir l’article de 2006 :
Télécharger Raivavae – Archaeological Fieldwork Report
Chemin pavé de pierre, bordé de dalles de pierres verticales. Peut-être le chemin à partir du marae vers Unurau

© The British Museum Oc,G.T.1675
Chemin bordé de pierres verticales qui mène au marae Pua Pua Tiare.
