Il y a encore peu de temps, les paradisiers constituaient une richesse pour la Nouvelle Guinée.
Les habitants les chassaient, coupaient leurs pattes et les échangeaient aux Malais dans les ports. Ces derniers n’avaient jamais vu les oiseaux vivants.
La rumeur courut donc que, privés de pattes, ces derniers volaient sans cesse sans jamais se poser et provenaient directement
du Paradis.
Les plumes des premiers spécimens allèrent orner les turbans indiens, rejoindre le lot des objets "exotiques" des cabinets de curiosités des Cours d’Europe.
Plus tard elles ornèrent le chapeau des femmes élégantes.
Les oiseaux de Paradis sont protégés depuis 1924.
Dessin : in Dictionnaire D’Histoire Naturelle de Charles Orbigny (1849)
Photo : Epingle
©RMN-Jean-Gilles Berizzi
Ton site est toujours un petit coin de paradis
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Quand on voit les plumes on comprend pourquoi ces oiseaux étaient chassés. Mais comme je n’utilise pas de plumes je suis d’accord avec le fait qu’ils soient protégés….
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